dimanche 9 décembre 2018

AFFAIRE DE LA FAUSSE CLASS ACTION CONTRE COSMOSPACE


Affaire de la fausse class action contre Cosmospace

Double sens des articles de presse locale
Le quotidien Nice Matin publiait dans son édition datée 23 octobre 2016 une information selon laquelle une class action était procéduralement engagée contre la plateforme audiotel Cosmospace dans des conditions opaques. Oeuvre de deux sinistres personnages : Sissaoui de l’Inad et son avocat dévoyé Panon Desbassyns.

Le lecteur, ignorant exactement qui a le droit de faire quoi, retient, de la lecture du quotidien, que l’Inad engageait une action de groupe, au motif de «moraliser une profession» sans préciser laquelle. Cette information caractérise l’infraction de la pratique trompeuse de fausse présentation de l’identité, des qualités, aptitudes et droits d’une organisation, nébuleuse. En voici l’explication.

. Les class action ou actions groupées sont réservées exclusivement aux associations dites représentatives au plan national, en France, en application de l’article L.623-1 du code de la consommation
Article L623-1
Une association de défense des consommateurs représentative au niveau national et agréée en application de l'article L. 811-1 peut agir devant une juridiction civile afin d'obtenir la réparation des préjudices individuels subis par des consommateurs placés dans une situation similaire ou identique et ayant pour cause commune un manquement d'un ou des mêmes professionnels à leurs obligations légales ou contractuelles :
1° A l'occasion de la vente de biens ou de la fourniture de services ;
2° Ou lorsque ces préjudices résultent de pratiques anticoncurrentielles au sens du titre II du livre IV du code de commerce ou des articles 101 et 102 du traité sur le fonctionnement de l'Union européenne

Il faut avoir la qualité d’association agréée, c'est-à-dire figurer sur la liste des organismes ayant au moins 10 000 membres cotisants, et être TO-TA-LE-MENT indépendant des professionnels. Pas un seul adhérent. Ce qui n’est pas le cas de l’inad qui les encarte à tours de bras par poignées de 100.

La demande d’agrément est adressée à la DGCCRF, l’agrément est accordé par arrêté ministériel publié au Journal Officiel. Le journaliste de Nice Matin, dans son article, restait évasif sur la qualité de l’Inad à remplir la condition prévue par la loi pour agir. L’article comportait trois informations non-conformes.

1-Tout d’abord la déclaration de Sissaoui affirmant « notre but est de moraliser la profession ». Laquelle ? L’article ne le précisant pas. Clignotant n’est pas une profession. Une activité ? Peut-être. L’action de groupe vise essentiellement à obtenir réparation des préjudices individuels de consommateurs lésés dans la même situation similaire ou identique. L’action de groupe française est une action exclusive d’indemnisation financière.

2-Ensuite il était fait était d’un vide procédural. L’article évoquait une plainte transmise à la DDPP des alpes maritimes. « la plainte groupée a été transmise en juin à la direction départementale de la protection de la population ». La DDPP est incompétente pour agir, et faire quoi que ce soit, puisque la loi dispose que cette action appartient exclusivement à une association nationale représentative. On en déduit que l’inad et Sissaoui, non qualifiés, faisaient de l’esbroufe pour épater les crédules, et s’attirer de la sympathie à bon compte, en se livrant à des gesticulations trompeuses. Le même propos comportait encore un caractère processuel nébuleux avec l’affirmation selon laquelle « le parquet de grasse a un énorme dossier en cours d’études ». Une action de groupe s’engage comme une saisine en justice ordinaire, sans nécessiter de faire décanter un cumul de plaintes par un tri préalable de juges, placés en macération continue dans un filtre purificateur à passoires successives d'épuration.

3-Enfin, au lieu de décrire les préjudices matériels subis par les consommateurs, ce qui était le centre d’intérêt essentiel de cette information, l’auxiliaire de justice dévoyé Panon Desbassyns évoquait : «escroqueries, extorsion de fonds». Des incriminations étrangères au domaine d’application de l’action de groupe laquelle est d’abord de nature civile, et non pénale s’agissant de manquements à une obligation légale. La loi précise «agir devant une juridiction civile pour obtenir réparation de préjudices individuels» Il ne s’agit pas de répression, puisque l’action est exclusivement indemnitaire. L’avocat dévoyé Panon Desbassyns dérapait en ajoutant « cela devient une infraction pénale quand on pousse à la consommation…» L’incitation à consommer ne constitue ni une infraction du droit de la consommation ni non plus du code pénal par son absence de la table alphabétique de ces deux codes, et de l’index des infractions. En revanche, la signalétique défaillante des paliers audiotel de Cosmospace justifiait une action groupée restée lettre morte. L’inad et Sissaoui, eux mêmes laxistes, sur l’information relative aux prix des services signofiles, devenaient amnésiques. Cela commence basiquement avec l’application de la tva, détournée et empochée, par les inadistes au nez et à la barbe du fisc. Contribuant ainsi à alourdir le poids général des impositions de tous les contribuables Français. Vos impôts augmentent? C’est de la faute à l’Inad, et à ses consignes, données aux inadistes de voler la France des abandonnés, et des laissés pour compte, en chapardant le produit des taxes. Autre manquement, l’absence d’information sur l’existence du droit de rétractation. Sanctionné par une amende de 150 000€ et 2 ans de prison au pénal, ainsi que par la nullité au civil. C’est d’ailleurs, sur cette base de la nullité civile, que Mme Cohen, obtenait d’un juge, honnête, et sérieux, certainement le dernier de cette catégorie devenue rare, le remboursement de 9000€ le 16 mars 2017 à Paris. Sans faire d’action de groupe, simplement en refusant de payer Cosmospace. Le droit de rétractation date du 3 juin 1971, 47 ans en 2018.
Bref, l’article de Nice Matin bluffait les crédules, et les ignorants, en laissant croire qu’une organisation obscure, dépourvue d’agrément légal s’agitait comme un petit diable tombé dans un bénitier, dans la pénombre, aidée par un avocat trublion pour se tirer d’affaire. De la désinformation ? Pas vraiment ! Plutôt un message clair adressé aux administrateurs de Cosmospace de se soumettre au coup de force de l’Inad. L’article de Nice Matin marquait la prise de contrôle de Cosmospace par Sissaoui. En infligeant à Cosmospace une humiliation publique ? Pas seulement, il fallait aussi casquer du blé au maître dictant sa loi, selon les habitudes de son comportement mafieux de rançonneur des lilas. Une ancienne expression, tombée depuis en désuétude, nomme cette action « faire venir quelqu’un à jubé » jube étant l’impératif du verbe latin jubeo, ordonnez je cède. Bien entendu Me Filipetti, avocate de Cosmospace, n’a rien dit de cette affaire.



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samedi 17 novembre 2018

Joseph Bassani, le professeur 6awi et l'Inad poursuivis dans l'affaire du recouvrement de créance contre l'avocat Soland





Joseph Bassani, le professeur 6awi et l'Inad poursuivis dans l'affaire du recouvrement de créance contre l'avocat Soland

 Le 2 mai 2016 l’avocat Hubert Soland de Lille répondait NIET au professeur 6awi, lequel intervenait pour le compte d’un dénommé Joseph Bassani, créancier dans une procédure collective, dont il est le principal responsable, devant le tribunal de Commerce de Lille. La lettre de l’avocat Soland porte en référence les mots «recouvrement de créance», alors que l’action engagée par Bassani, et 6awi, caractérisait un chantage «obtenir en portant atteinte à l’honneur et à la considération la remise de fonds, de valeur ou d’un bien quelconque». La demande portait sur la somme de 6000 euros, correspondant aux honoraires payés en 2014 par Joseph Bassani en règlement d’une mission de déclaration de créance, de consultation, et de rédaction d’une constitution de partie civile, contre les anciens associés de Bassani, dont l’actuel président de la société KIABI, Monsieur Bonte.

L‘avocat Soland, avec plusieurs précautions, hélas insuffisantes, déclarait la «fausse» créance de Bassani d’un montant de 4 millions de us$. Somme qui faisait saliver le professeur 6awi, et sur laquelle il envisageait de percevoir une solide commission de 15%. L’avocat Soland renonçait finalement à donner suite à sa proposition de rédaction de plainte. Il avait ses raisons. Ce refus déchaînait alors la colère de Joseph Bassani, lequel lui écrivait «vous m’avez pris pour un con». Afin de régler le différent, l’avocat Soland proposait à Bassani une réduction de ses honoraires de 2000 euros. Offre stupidement refusée par Bassani. En effet, on trouve des avocats à tous les coins de rue, et n’importe lequel pour 1000 euros est en mesure de rédiger une plainte. Par exemple la sorcière qui tient lieu d’avocate à l’horrible noire de l’oracle. Pour 500 euros était capable d’écrire sous la dictée de Bassani.

Faisant une fixation sur ses 6000 euros, Joseph Bassani engageait alors plusieurs actions contradictoires avec ses intérêts, notamment celle de saisir le bâtonnier du barreau de Lille. C’est donc en pleine procédure de contestation d’honoraires, que le professeur 6awi intervenait avec son Inad, auprès de l’avocat Soland afin de récupérer 6000€, moins une commission de 15% sur cette somme, pour avoir écrit une lettre, dont 5% payé cash à la commande. Une lettre du professeur 6awi ce n’est pas donné, ici 300€, passez la monnaie...de singe. Le principe d’une créance obéit à 3 conditions : certaine, liquide et exigible. Dans les faits, Joseph Bassani ayant saisi le bâtonnier de Lille, en février 2016, n’était plus créancier. Il était devenu contestant en honoraires. Cette qualité faisait obstacle à toute action en recouvrement de créance. D’ailleurs dans une lettre, l’avocat Soland reprochait à Bassani de jouer à la mouche du coche en engageant des actions intempestives, et contradictoires avec ses intérêts.

Le 02 mai 2016 l’avocat Soland répondait NIET à la tentative de recouvrement occulte de la somme de 6 000€. En exposant, au professeur 6awi, avec malice, que l’avocat pratique le droit, sans user d’un grimoire magique avec de la poudre de perlimpimpim. L’affaire aurait pu en rester là. Mais voila que Joseph Bassani, le professeur 6awi et l’Inad, sont poursuivis, ensemble, pour cette tentative de chantage de l’avocat Soland. Les uns diront que c’est la divine providence. Les autres l’intervention du Grand Albert, suite au rituel de la Poule Noire. Dans cette histoire, Joseph Bassani, est des 3 compères, celui qui risque le plus de morfler.  

astroemail 03/11/2018 numérisation pour dépôt légal BNF 11/2018



pratique occulte de Maitre chantage à distance des médiations de l'Inad du numérologue 6awi
envoyer une lettre trempée dans un jus de magie noire préparé spécialement
avec des prières, macérée pendant 5 heures dans un bouillon d'orties et de 10 billets de 50€
avec la signature du grand mage 6awi à l'encre de larmes de crocodiles du Jean Baise, fleuve africain


PRATIQUE COMMERCIALE TROMPEUSE
médiation contre un avocat en recouvrement de créance

L’inad exploite illégalement l'action en médiation

"Je ne vous ai jamais pris pour un con" Hubert Soland
Le refrain est connu sur l'air des lampions "L'inad ne se laissera ni impressionner ni intimider sans faiblir dans sa mission de prévention et de défonce*des consommateurs des arts divinatoires et des professionnels malhonnêtes* et non sérieux*".

A la demande d'un créancier, inscrit sur la liste du règlement judicaire d'une entreprise, devant le Tribunal de commerce de Lille, et contre le paiement préalable de la somme de 300€, au titre des 5% de sa commission. Selon la formule du pouvoir "je m'engage à payer un acompte de 5% (directement à l'Inad) du montant des sommes à recouvrer, et en cas de résultat positif 10% sans déduction de l'acompte initial et cela même si les sommes me sont directement adressées par le professionnel...."La créance -présumée- était de 6000 euros. L'inad adressait fin avril 2016 “une lettre de médiation”  (sans en avoir le pouvoir légal) à l'avocat de Lille Maitre Hubert Soland. Me Soland est un ténor de son barreau, aux honoraires de 500€/heure.

Le hic, car il y en un GROS est que l'affaire ne concerne pas la voyance. M Joseph Bassani, créancier, et actionnaire, d'une entreprise de mobilier de cuisine, conduite à la déconfiture, suite à sa mauvaise gestion demandait à l'Inad d'intervenir contre l'avocat Soland. La forme empruntée est celle du maître chantage, contre un avocat, par l'INAD, organisation occulte des pratiques noires, dépourvue de tout pouvoir de médiation.

La créance -présumée- concerne les honoraires réglés par M Bassani, à Maître Hubert Soland, dans un  dossier concernant diverses prestations de son cabinet, notamment la rédaction d'une plainte pénale contre les ex associés, et actionnaires de M Joseph Bassani, dans la société de mobilier de cuisine d'abord en règlement judiciaire, puis ensuite mise en liquidation judiciaire par le tribunal de commerce de Lille.

Lors de leur premier entretien, sur la base des seuls documents communiqués par le client, selon ce que rapporte Joseph Bassani, l'avocat Hubert Soland "aurait diagnostiqué une affaire d'escroquerie en bande organisée". Le client Bassani ignorait une réalité. Les personnels de justice conversent entre eux, en application de leurs règlements professionnels. Lorsqu'il fut plus informé des faits, par le liquidateur nommé par le tribunal de commerce, il apparait que la première appréciation verbale de Me Soland- si tant est ce que rapporte M Bassani soit vrai- nécessitait de sérieuses corrections. Me Soland ne rédigea pas la plainte. Enervé, le client Bassani écrivait à l'avocat Soland "vous m'avez pris pour un con". De sérieux indices montrent que le client Bassani essaya d'abuser l'avocat. Maître Soland, reconnaissons lui le respect de sa robe, répondit poliment "je ne vous ai jamais pris pour un con". Il lui proposa la restitution de la somme de 2000 € d'honoraire, que le client Bassani refusa tout "niet". Ce sont dans ces conditions, que Joseph Bassani s'adressait à l'INAD en chargeant cette organisation, sans réel statut, de récupérer 6000€ pour son compte. Proposition bien entendu acceptée par l'INAD, alors que cette affaire de cuisine n'est ni un dossier de voyance, ni non plus divinatoire. Accessoirement ce serait "dinatoire" par usage interposé de mobilier de cuisine. De toute façon c'est hors objet de l'Inad, laquelle déclame afin d'intimider les crédules " prévention de la défonce* des consommateurs et des professionnels malhonnêtes* et non sérieux* de la divination".Les David Mocq, Fabrice Pascaud et autres Annick Cherbuis, ou Sabrina de sein quelque chose, sans oublier le grand ami, depuis 1982, le faux voyant non sérieux Rambert, qualifié par Anne Placier de "mieux veau en rire" dans le Guide de la Voyance dont elle est l'auteure.



L'action en recouvrement de créance pour le compte de tiers est réglementée. Laissons cet aspect de côté, intéressons-nous seulement à l'action en médiation. L'absence de statut réel de l'Inad ne lui permet pas d'intervenir dans une affaire de médiation. Notamment en mai 2016, ou cette action est régie par le 6° de l'article L.111-1 du code de la consommation. Et encore moins de réclamer un paiement selon sa formule  habituelle: "« Je m’engage à payer un acompte de 5% (directement à l’INAD)  du montant des sommes à recouvrer, et en cas de résultat positif 10% des sommes indiquées sans déduction de l’acompte initial et cela même si les sommes me sont directement adressées…. ». ». Pourcentage auquel  s’ajoutent « 30 € d’adhésion non causé car l’inad n’est pas une association de consommateurs et 30 € de frais de dossier illégaux soit en tout 60€ supplémentaire de "gratte". Car la médiation INAD n'est pas gratuite. Elle commence déjà avec la pratique illégale du don de 20€ : "chaque personne qui fait appel aux services de l'association participe au financement de ses actions par le versement d'une somme symbolique de 20 euros (page soutenir-l-inad.html/". C'est contraire à l'article 1er de la loi de juillet 1901. En conséquence, pour récupérer 6000€ hypothétiques, il fallait verser d'avance 5%¨soit 360€ avec la "gratte" (les frais et la cotisation). Pour obtenir au final la lettre ci dessous de Me Soland à l'Inad, je ne pratique pas la justice de l'occulte. Ce que l'on nomme aussi, dans un autre registre, recevoir un magistral coup de pied au cul..te bien mérité.

Sans entrer dans les détails, l'avocat Hubert Soland répondait à l'Inad que sa médiation ne pouvait aboutir car il ne pratique pas la divination devant les tribunaux. Bien entendu l'avocat Soland communiquait la copie de sa réponse à son bâtonnier. Et l'affaire en restait là. Il apparait que ce dossier, non clos, comporte une importante dimension pénale, relevant de l'application de l'article L.132-2 du code de la consommation pour pratique trompeuse de l'INAD en matière de médiation, s'emboitant dans l'article L.131-1 du même code pour un manquement. Certes l'INAD trompettera à loisir que tous les droits de la médiation lui sont permis, par ses statuts...que la Cour d'Appel d'Aix en Provence attend encore depuis l'arrêt du 25/10/2012 ayant jugé que l'Inad n'a pas de personnalité morale




lettre de l'avocat Hubert Soland au Maître chanteur Inad "Je ne suis pas un sorcier" sur l'air du hit connu de Daniel Balavoine je ne suis pas un zéro...


email Bassani "vous m'avez pris pour un con". Visiblement l'auteur de l'émail manquait d'argument, excepté celui d'invoquer l'absence de considération "vous m'avez pris pour un con".


réponse de l'avocat Soland, sur le respect du client "je ne vous ai pas pris pour un con et je ne vous prends toujours pas pour "un con". Afin de couper court au dénigrement du client, susceptible d'exploitation judiciaire, par suite du reproche d'un manquement dans les diligences auxquelles un avocat est tenu.


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vendredi 5 octobre 2018

Danae Plongera à partir de 2020












Ce n’est pas une prédiction, simplement le résultat d’un calcul statistique. A partir de 2020 Danae plongera…à moins qu’elle ne change d’activité, maintenant, en se mettant à proposer des cosmétiques maisons à base de voyance, pour femmes et pour hommes, en revenant à son premier métier de shampouineuse.

Danae se distinguait de ses concurrents en proposant un contrat de voyance, premier modèle du genre. Sa présentation est, presque, un sans faute, mais il y a un gros problème non résolu. Ce ne sont pas ses prestations. Elle pourrait proposer de la dinde en voyance, ce serait pareil. Afin de ne pas éveiller les procédures, avant l’heure, résumons l’affaire par deux mots clés, chaine ou encore boule. Les futures victimes auront aussi intérêt à s’intéresser à son avocate Anne Laure Gaspérini, s’ils veulent récupérer leur argent. Non qu’elle soit particulièrement riche pour, éventuellement, les indemniser. Es qualité d’auxiliaire de justice elle a l’obligation de souscrire une assurance pour ses activités. Voila le principal motif de ce centre d’intérêt. Danae ne plongera pas seule. Elle sera accompagnée dans sa chute.

Notez que Danae peut dès aujourd’hui s’éviter tous ces ennuis en renouant avec le peigne. Par exemple en créant la gamme de produits de beauté Danae voyance. Elle a là, certainement, un bien meilleur avenir pour établir sa notoriété. Certes il lui faudra prospecter, démarcher, les salons de coiffure pour proposer sa gamme de produits, et gérer les stocks. Elle gagnera moins au début, mais sans courir de risques pour sa liberté en préparant solidement sa fortune, pour ses vieux jours.


Les conseils, c’est connu, sont donnés pour ne jamais être suivis. Dommage! La clientèle perd l’occasion de connaître, et d’essayer, les produits de beauté de voyance Danae Roux. Au besoin en s’aidant des grimoires magiques oubliés de la région Provence Alpes Côte d’Azur, pour la composition de ses philtres de beauté, et de ses élixirs de bien être. C’est comme cela que débutait la saga commerciale de l’anis Marie Brizard. Et, plus tard, du pastis Paul Ricard.

mercredi 15 août 2018

LE DIVORCE DES VOYANTES











Avoir pour partenaire une, ou un, voyant ce n'est ni de la tarte, ni de la crème. Moins encore un cadeau. Voyante et voyant sont de mauvais conseillers affectifs et amoureux. On s'en rend facilement compte avec le nombre d'affaires dans lesquelles il y a une escroquerie au retour d'affection. Les voyantes forcent la dépense du ménage en s'endettant dans les crédits à la consommation. Les voyants sont des partenaires instables, portés aux aventures extra conjugales. Le partenaire d'une voyante est en général un homme malheureux en ménage. Le faux voyant Rambert resta marié 5 ans. Il détient le record du mariage le moins long dans la voyance.  

Résultats de dépouillement 
Il apparaît, après analyse de 50 décisions de divorce de voyantes, représentant le ¼ des effectifs exerçant actuellement en France, au cours des 18 dernières années (année 2000 comprise) les informations suivantes :

Durée moyenne des unions contractées : 10 années.
Le maximum atteint  18 à 25 ans
Le minimum est de 5 ans, cas du faux voyant non sérieux François Rambert, marié le 26 juin 1980, divorcé le 7 avril 1986

Demandeur en divorce : la voyante
A l’exception de quelques cas particuliers de divorce pour faute. La voyante est demandeuse en procédure de divorce, aux torts partagés.
Cette donnée constitue une indication sérieuse selon laquelle la consultation des voyantes, en matière affective, est contre indiquée. Puisqu’elles se montrent incapables, pour elles mêmes, de faire le bon choix d’un partenaire.

Motifs de demandes en divorce
1) Partenaire d’une voyante = vie affective malheureuse 
Les décisions de divorce pour faute indiquent qu’au cours de 2 dernières années de vie commune, précédant le prononcé du divorce, le partenaire masculin de la voyante soit quitte le domicile conjugal, soit consulte des sites de rencontres pour trouver une nouvelle partenaire, alors qu’auparavant le mari n’avait aucun comportement volage.

Une seule voyante se plaignait en justice, de subir des relations sexuelles contraintes, car elle se refusait à son mari (frigidité ?).

2) Gestion ruineuse des ressources du ménage par la voyante
Souscription excessive de crédits, notamment à la consommation, constitue le second motif de divorce, relevé par les tribunaux en France

3) Pratiques sectaires et ésotérisme
Les partenaires des voyantes se plaignent en justice de l’addiction des voyantes aux pratiques sectaires, ainsi qu’à l’engagement dans les pratiques de sorcellerie. Faut-il voir dans cet argument une résurgence culturelle des accusations du XVIIe contre les sorcières ou une réalité ?

Age du divorce
La voyante est demandeuse en divorce vers l’âge de 40 ans en moyenne.

Divers
1) Un cas de demande en divorce, par le partenaire d’une voyante, fait état de son intempérance alcoolique. Les voyantes en moyenne boivent.
2) Deux cas d’hommes violents sont signalés, suite au comportement de leur partenaire voyante.
3) La vénalité de la voyante, financièrement intéressée, constitue le 4e motif de demande en divorce. Notamment lorsque le partenaire rencontre des difficultés financières.
4) Une décision, relative à la cliente d’une voyante, relève « les mauvais conseils donnés par les voyantes à leur clientèle ». Notamment en proférant des accusations de pratique de magie noire contre la famille, les proches et les relations de leurs clientes.
5) Une autre décision constate, que les voyantes manipulent les couples, afin de susciter des divorces, en prodiguant de mauvais conseils, afin d’inciter les partenaires à commettre des adultères en accumulant les aventures.
6) En matière de revenus, un arrêt de la 6e chambre civile de la Cour d’Appel d’Aix en Provence, apprend que le «médium rubis», ou «médium diamant», employé chez Cosmospace, percevait un salaire mensuel de 1 580€ en 2014. Cette salariée était astreinte de fournir un chiffre d’affaire mensuel de 9000€ à son  employeur. Le gain final de Cosmospace est donc de 7 420€/mois, par voyant.


Les voyantes sont perçues comme des sorcières.
les voyantes manipulent les couples mariés, suscitant des divorces dans leurs clientèles, pour se venger de leurs unions ratées, en détruisant des ménages stables, incitant les partenaires à commettre des adultères.
Epouser une voyante s'avère une galère pour les hommes.Les maris des voyantes sont malheureux en amour et en ménage.
Les voyantes sont en général des femmes perturbées, ainsi que déséquilibrées affectivement et sexuellement.
Les voyantes vivent leur sexualité par procuration avec leurs clientes. Attirance pour les femmes et tendances bissexuelles.
   

Le premier cas documenté, relatif à la voyance affective, est connu sous le terme de "l'oracle des cloches". Il date du XVe siècle. Son auteur le Clunisien Jean Raulin.

φClaude Thébault 15/08/2018

numérisé par astroemail pour dépôt légal numérique août 2018

vendredi 10 août 2018

chai ROOS la voyante chahutée par des clients










Les clients ont le droit de réclamer.
Les professionnels ont l'obligation d'organiser le traitement de leurs réclamations.
Le manquement fait l'objet d'une amende variant de 3000 à 15 000€ selon la forme et le statut du professionnel

lundi 6 août 2018

Petit Secret de l'Inadannuaire











Tout laissait croire, dans le différent inad/wengo, que la sté mybestpro s’était couchée devant l’Inad, par l’effet de l’arrêt d’appel, ayant condamné WENGO en novembre 2012.
En Savoir Plus

effet de l'oracle sur le hazard

EFFET DU HASARD SUR L’ORACLE La question restait en suspend : la connaissance de l’oracle modifie-t-elle le hasard A ce jour au...