mercredi 15 août 2018

LE DIVORCE DES VOYANTES











Avoir pour partenaire une, ou un, voyant ce n'est ni de la tarte, ni de la crème. Moins encore un cadeau. Voyante et voyant sont de mauvais conseillers affectifs et amoureux. On s'en rend facilement compte avec le nombre d'affaires dans lesquelles il y a une escroquerie au retour d'affection. Les voyantes forcent la dépense du ménage en s'endettant dans les crédits à la consommation. Les voyants sont des partenaires instables, portés aux aventures extra conjugales. Le partenaire d'une voyante est en général un homme malheureux en ménage. Le faux voyant Rambert resta marié 5 ans. Il détient le record du mariage le moins long dans la voyance.  

Résultats de dépouillement 
Il apparaît, après analyse de 50 décisions de divorce de voyantes, représentant le ¼ des effectifs exerçant actuellement en France, au cours des 18 dernières années (année 2000 comprise) les informations suivantes :

Durée moyenne des unions contractées : 10 années.
Le maximum atteint  18 à 25 ans
Le minimum est de 5 ans, cas du faux voyant non sérieux François Rambert, marié le 26 juin 1980, divorcé le 7 avril 1986

Demandeur en divorce : la voyante
A l’exception de quelques cas particuliers de divorce pour faute. La voyante est demandeuse en procédure de divorce, aux torts partagés.
Cette donnée constitue une indication sérieuse selon laquelle la consultation des voyantes, en matière affective, est contre indiquée. Puisqu’elles se montrent incapables, pour elles mêmes, de faire le bon choix d’un partenaire.

Motifs de demandes en divorce
1) Partenaire d’une voyante = vie affective malheureuse 
Les décisions de divorce pour faute indiquent qu’au cours de 2 dernières années de vie commune, précédant le prononcé du divorce, le partenaire masculin de la voyante soit quitte le domicile conjugal, soit consulte des sites de rencontres pour trouver une nouvelle partenaire, alors qu’auparavant le mari n’avait aucun comportement volage.

Une seule voyante se plaignait en justice, de subir des relations sexuelles contraintes, car elle se refusait à son mari (frigidité ?).

2) Gestion ruineuse des ressources du ménage par la voyante
Souscription excessive de crédits, notamment à la consommation, constitue le second motif de divorce, relevé par les tribunaux en France

3) Pratiques sectaires et ésotérisme
Les partenaires des voyantes se plaignent en justice de l’addiction des voyantes aux pratiques sectaires, ainsi qu’à l’engagement dans les pratiques de sorcellerie. Faut-il voir dans cet argument une résurgence culturelle des accusations du XVIIe contre les sorcières ou une réalité ?

Age du divorce
La voyante est demandeuse en divorce vers l’âge de 40 ans en moyenne.

Divers
1) Un cas de demande en divorce, par le partenaire d’une voyante, fait état de son intempérance alcoolique. Les voyantes en moyenne boivent.
2) Deux cas d’hommes violents sont signalés, suite au comportement de leur partenaire voyante.
3) La vénalité de la voyante, financièrement intéressée, constitue le 4e motif de demande en divorce. Notamment lorsque le partenaire rencontre des difficultés financières.
4) Une décision, relative à la cliente d’une voyante, relève « les mauvais conseils donnés par les voyantes à leur clientèle ». Notamment en proférant des accusations de pratique de magie noire contre la famille, les proches et les relations de leurs clientes.
5) Une autre décision constate, que les voyantes manipulent les couples, afin de susciter des divorces, en prodiguant de mauvais conseils, afin d’inciter les partenaires à commettre des adultères en accumulant les aventures.
6) En matière de revenus, un arrêt de la 6e chambre civile de la Cour d’Appel d’Aix en Provence, apprend que le «médium rubis», ou «médium diamant», employé chez Cosmospace, percevait un salaire mensuel de 1 580€ en 2014. Cette salariée était astreinte de fournir un chiffre d’affaire mensuel de 9000€ à son  employeur. Le gain final de Cosmospace est donc de 7 420€/mois, par voyant.


Les voyantes sont perçues comme des sorcières.
les voyantes manipulent les couples mariés, suscitant des divorces dans leurs clientèles, pour se venger de leurs unions ratées, en détruisant des ménages stables, incitant les partenaires à commettre des adultères.
Epouser une voyante s'avère une galère pour les hommes.Les maris des voyantes sont malheureux en amour et en ménage.
Les voyantes sont en général des femmes perturbées, ainsi que déséquilibrées affectivement et sexuellement.
Les voyantes vivent leur sexualité par procuration avec leurs clientes. Attirance pour les femmes et tendances bissexuelles.
   

Le premier cas documenté, relatif à la voyance affective, est connu sous le terme de "l'oracle des cloches". Il date du XVe siècle. Son auteur le Clunisien Jean Raulin.

φClaude Thébault 15/08/2018

numérisé par astroemail pour dépôt légal numérique août 2018

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