Macron a peur
Réponse
méprisante du président Macron
Aux
revendications des Gilets Jaunes :
« 100
balles de plus par moi ».
Sous
forme d’étrennes présidentielles 2018.
La
réponse présidentielle à 4 samedis de protestations houleux dans toute la
France se résume à deux propositions sommaires : la carotte et le bâton.
La hotte du père noël Macron pour les fêtes 2018 était vide. Le quinquennat du
président s’est joué en 18 mois et il a perdu la main. Sa prestation télévisée
indique l’approfondissement de la fracture nationale devenue irréconciliable
entre deux catégories de citoyens. Le principe républicain de l’égalité des
droits vole en éclats.
Petite
réaction à l’écoute des propos présidentiels, entendus dans ses 13 minutes
d’intervention d’allocution publique, suite à la crise des gilets jaunes, lundi
10 décembre 2018 à 20 heures. La réponse présidentielle aux problèmes du
quotidien se résume à deux propositions toutes aussi rudimentaires et
superficielles l’une que l’autre : la carotte et le bâton. Les romains,
même confrontés aux invasions gothiques, proposaient mieux : du pain et
des jeux, panem et circenses. L’offre alimentaire et récréative maintenait la
cohésion sociale jusqu’en l’an 500 en occident, et jusqu’en 1200 en orient.
La carotte
Elle
correspond au volet corruption financière, et sociale, de l’offre
présidentielle aux citoyens Français. Avec la mise en place d’un engrenage
broyeur. L’offre, contradictoire, de la prime de fin d’année, en fonction des
moyens, autorise l’évasion fiscale que le président promet de combattre. Cela
se traduira par la proposition de 10€ de gratification à chaque salarié, et
d’un million d’euros au patron. Evasion légale défiscalisée. Quelle sera la
prime des fonctionnaires ? Car après tout ils ont aussi vocation à la
percevoir. Notamment ceux qui sont payés pour tabasser les gilets jaunes. Comme
ceux qui les sanctionnent en chambres d’injustices. La constitution, celle de
1793 en tout cas, assure à chaque citoyen le droit d’insubordination contre
l’injustice bourgeoise sans limiter, ni non plus réprimer, le droit à la casse
d’origine ethniquement gauloise.
-La loi doit protéger la
liberté publique et individuelle contre l’oppression de ceux qui gouvernent, article 9 de la Constitution du 23 juin 1793
-Quand le gouvernement viole
les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion
du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs, article 35 Constitution 23 juin 1793
Au-delà
de la prime salariale, distribuée à la tête du client, constitutive d’une
discrimination au faciès. Se profile la mise en place d’un engrenage broyeur
ayant pour résultat de laminer rapidement le système. L’offre de 100 euros nets
par mois défiscalisés. Pourquoi se limiter, seulement, à 100 euros ? Si le
système permet ce bakchich, il donnera lieu à plusieurs étapes successives
d’augmentation, 200 à 500 et puis, pourquoi pas, tout de suite, un salaire
mensuel net entièrement défiscalisé ? La CGT réclamait 1500€ nets pour
tous, tout de suite, sous le mandat de Chirac. Nous y sommes, enfin, parvenus
le 10 décembre 2018. Le président Macron a perdu la main en lâchant sa
proposition à 100 balles le 10 décembre 2018 à 20 heures..
Le bâton
Début
d’intervention présidentielle musclée sur le respect de l’ordre respectable.
Honnête et sérieux comme disent les voyants du clignotage. Les directives sont
données pour réprimer le manifestant en plein exercice de…manifestation. La
politique du bâton tendu donne rarement les résultats attendus. L’injustice
recevait les consignes, inflexibles, d’appliquer dans ses palais les sanctions,
sans discernement de préférence, afin de faire des exemples. Exemplaires. Effrayer
le petit peuple en lui disant, « manifestes coco, si tu veux. Moi je vais copieusement te cogner sur la
gueule pour t’apprendre à me respecter ducon ».
Discours dissuasif traditionnel de l’affrontement du fonctionnaire cogneur, et
du citoyen cogné, dans l’exercice du droit de réclamation très mal protégé par
la loi. Une injustice crasse. Ce propos sécuritaire sonnait particulièrement
faux avec l’exercice obligé, peu après, du mea culpa présidentiel, hypocrite,
adressé aux catégories socio professionnelles « je comprends les difficultés de la mère de famille participant
aux manifs revendicatives». Après tout
qu’est-ce qu’elle foutait là sur les ronds points, au lieu de torcher ses
mioches en restant chez elle à la maison ? Un coup de matraque
républicaine sur la gueule lui apprendra à respecter l’ordre bourgeois. Bref,
le président a tellement compris les gilets jaunes « dont la colère est juste à bien des égards », qu’il
ne s’excuse, même pas, d’ordonner sa répression en organisant les mesures
d’injustice via la police et les juges, derniers soutiens d’un pouvoir atteint
en plein cœur. Verrons nous surgir bientôt de nouvelles Louise Michel, laquelle
volait le pain dans les boulangeries pour le donner aux ouvriers ? Ce n’est plus improbable. La presse
internationale publie ce matin des échos selon lesquels la répression policière,
et injusticiaire, concerne « essentiellement
des femmes et des hommes jeunes, au chômage et à faibles revenus ».
Bref, le président Macron autorise au citoyen le droit d’être en colère, sans
lui permettre de la manifester. Quand la cocotte minute boue de trop elle
explose, c’est une loi de la physique des fluides.
Finalement
la hotte de noël du père Macron était vide. L’appel de la force publique à
frapper la population montre que le président n’a pas le cœur sur la main, ni
la main sur le cœur. La fracture sociale Française non réduite ni par Chirac,
ni par ses successeurs atteint le stade de l’affrontement de la classe sociale
des profiteurs s’acharnant sur la France des délaissés et des laissés pour
compte. Le principe d’égalité est en lambeaux, donnant raison au discours tenu
par Jacques Roux le 25 juin 1793 « l’égalité est
un leurre aussi longtemps que les riches... exercent le droit de vie et de mort
sur leurs concitoyens » J’espère me tromper, mais Macron a peur,
car il sait que son quinquennat est désormais mal barré. Son beau rêve, brisé
en mille morceaux, fait place au début du cauchemar.
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